Maxime a été attiré assez tôt par la photographie. Elle est rapidement devenue primordiale, passant de simple outil de témoignage à véritable moyen d’expression.
Après deux années d'études à l'école ETPA de Toulouse, il débute alors une activité de photographe indépendant en 2013, en donnant une place centrale à sa démarche artistique.
Ses images s'axent principalement autour de la nature, toujours avec un fort attrait pour les ambiances surréalistes et oniriques. Fasciné par les territoires sauvages et les cieux orageux, il parcourt régulièrement la haute altitude et les étendues désertiques en quête de visions picturales, tentant de retranscrire les atmosphères particulières qu'il rencontre au cours de ses errances solitaires.
Son expo sur notre festival : "Terres perdues"
La montagne… Il émane une réelle puissance de ces lieux. De vaporeux sentiments s’entremêlent, fascination, angoisse, humilité. Une étrangeté omniprésente éveille en vous des émotions instinctives enfouies, votre esprit est ramené au stade primitif d’une sorte de contemplation craintive. Des forces brutes semblent habiter ces immensités.
J’erre en ces monts perdus en quête d’atmosphères sombres, d’instants oniriques hors du temps. Le concept des Terres Perdues est basé sur ces sentiments. Ce sont les visions éphémères d’immensités sauvages, de lumières oubliées.
Le (bon) mot du photographe
« Fasciné par les territoires sauvages, je pars régulièrement en quête de sommets perdus et paysages oubliés, à la recherche d'atmosphères nouvelles, tentant de retranscrire les émotions qui me traversent quand je marche dans ces immensités ».